Dans un monde où le christianisme était considéré comme un ennemi, une secte, ils ont été les premiers témoins de l’amour du Christ. Hommes et femmes de toutes conditions ils ont adhéré à la Bonne Nouvelle transmise par les apôtres et n’ont eu de cesse de la partager autour d’eux. Beaucoup l’ont payé de leur vie, sans jamais renier leur foi nouvelle. C’est l’histoire de quelques-uns de ces témoins que vous trouverez racontée ici, une histoire qui deux mille ans après continue encore, avec son cortège de saints, de martyrs, d’humbles et obscurs témoins. Marc, Luc, Jude, Justin, Etienne, Perpétue, Polycarpe… l’histoire chrétienne a retenu leurs noms… qui étaient-ils vraiment ?
La bd « Les témoins » disponible ici
L’avis d’histoiregeobd.com sur la bande dessinée « Les témoins »
« Les Témoins« propose une immersion visuelle dans la vie de dix figures du christianisme à ses débuts. Sous la forme d’une anthologie, chaque récit brosse le portrait de personnages tels qu’Étienne, Perpétue, Justin et Polycarpe, confrontés aux persécutions de leur époque. Le scénario, fondé sur des sources historiques rigoureuses, restitue la vie de ces martyrs et témoins de leur foi.
Sur le plan graphique, la variété des styles,du réalisme fouillé aux traits plus stylisés inspirés du comic américain, crée une cohésion étonnante. Les ambiances sont colorées, tantôt sobres pour souligner l’austérité des catacombes, tantôt vives pour illustrer les moments d’espérance.
L’enchaînement des histoires, conçu comme un chapelet narratif, invite à réfléchir sur la portée universelle du courage. Ben Avery signe ici un travail narratif exigeant, dont la structure polyphonique rend hommage à la diversité des voix chrétiennes anciennes.
Accessible à un lectorat varié, de l’adolescent curieux à l’adulte passionné d’histoire, cette bande dessinée se démarque par sa capacité à allier une certaine fidélité historique, et un dynamisme visuel. Ouvrage à recommander à ceux qui souhaitent découvrir les acteurs du christianisme.
La collection « Pour les Nuls » vous propose un rendez vous avec l’Histoire de France pour découvrir les moments forts de notre passé, pour comprendre les grands évenements et se repérer dans notre histoire de façon claire, ludique et didactique.
De Vercingétorix à François Ier, de Louis XIV au Général de Gaulle, suivez-nous pour un grand voyage dans le temps : l’Histoire de France, des premiers hommes à nos jours, magnifiquement dessinée par Gabriele Parma et scénarisée par Laurent Queyssi, l’adaptation en bande dessinée du best-seller de Jean-Joseph Julaud, L’Histoire de France en bande dessinée pour les Nuls vous invite à réviser vos classiques. Le tome 1 de cette série couvre la période des premiers hommes jusqu’à la mort de Clovis en 511 après J-C.
Suivez le guide ! le « Dummies Man », la mascotte de la collection « Pour les Nuls » vous guidera à travers les heures glorieuses ou sombres de notre Histoire. En prime, à la fin de l’album, un cahier de 16 pages écrit par Jean-Joseph Julaud vous permettra d’approfondir vos connaissances sur la période concernée.
La bd « L’Histoire de France pour les nuls – Tome 1 – Les gaulois » disponible ici
L’avis d’histoiregeobd.com sur la bande dessinée « L’Histoire de France pour les nuls – Tome 1 – Les gaulois »
Publié en octobre 2011, ce premier tome de la collection Pour les Nuls adapte le best-seller de Jean-Joseph Julaud en bande dessinée. Scénarisé par Laurent Queyssi, il couvre la période allant de la Préhistoire à la mort de Clovis en 511 apr. J.-C. et s’adresse tant aux adolescents qu’aux adultes.
La narration adopte un rythme soutenu : 1 000 ans d’histoire en 42 planches, condensant batailles gauloises et premiers contacts avec Rome. Les thèmes majeurs, la violence guerrière, les structures sociales et l’allégeance des tribus, sont traités avec clarté, sans verser dans l’anecdotique superflu.
Le trait de Gabriele Parma, mis en couleur par Silvia Fabris, allie lisibilité et dynamisme. Les planches jouent sur des cadrages variés et des teintes naturelles, renforçant l’immersion historique : les visages expressifs et les scènes de combat soutiennent le scénario.
Ce volume réussit à rendre accessible une période complexe grâce à un équilibre entre pédagogie et graphisme soigné. Il est idéal pour un public curieux de découvrir l’Antiquité gauloise sans lourdeur académique.
Adapté des fables d’Esopemises à l’écrit par Démétrios de Phalère vers 325 av. J.-C.
Le sens de la fable selon Ésope, l’inventeur du genre, est d’amadouer les puissants et de réparer les injustices subies universellement par les faibles de corps, de rang et d’esprit. Dans ces petites saynètes dramatiques, il donne la parole et la pensée aux animaux et aux objets quotidiens. Ésope décrit, dans un style pur et simple, des scènes qui sont autant de miroirs où chacun peut se voir agir et penser. Ses fables connaissent un succès universel à travers les adaptations de Phèdre, Jean de La Fontaine ou Charles Perrault.
Eric Vincent les adapte à son tour dans toute leur saveur et leur malice. Lumineusement illustré, ce recueil anime chaque animal de l’esprit humain qui lui est propre, grâce à une large palette d’émotions et à une ivresse touchante dans les traits. Goran Vejvoda, intrigué par les hybrides culturels, explore un monde où les animaux parlent le langage des hommes grâce à des sonorités profondes, joueuses et synthétiques.
D’Esope on ne sait pas grand chose, si ce n’est qu’il vécut entre les VIIe et VIe siècle avant notre ère. D’après Plutarque, Esope est un ancien esclave bègue doté d’un physique particulièrement ingrat. Après avoir rêvé que la Fortune lui déliait la langue, il s’éveille un jour guéri de son bégaiement. Acheté par un marchand d’esclaves, il arrive dans la demeure d’un philosophe de l’île de Samos, auprès duquel sa vivacité d’esprit et son habileté à résoudre les énigmes lui auraient permis de recouvrer la liberté. Il se rend alors auprès de Crésus pour tenter de sauvegarder l’indépendance de Samos et réussit sa mission en racontant une fable au roi. Il met alors son talent au service du roi de Babylone qui se réjouit de ses énigmes. Possédé par le désir de voyager, il retourne en Grèce et s’arrête notamment à Delphes. Sa mort reste obscure mais on raconte qu’il fut précipité dans la mer par les habitants de Delphes qui se croyaient offensés par ses histoires…
La bd « Les fables d’Ésope » disponible ici
L’avis d’histoiregeobd.com sur la bande dessinée « Les fables d’Ésope »
Dans la collection Classics Illustrated des ¡éditions!, Eric Vincent propose une adaptation des Fables d’Ésope, parue en 2009. Cette bande dessinée 64 pages réunit les récits fondateurs du fabuliste grec antique, inventeur du genre qui a inspiré Jean de La Fontaine et Charles Perrault. Eric Vincent respecte l’essence des Fables d’Ésope : ces « petites saynètes dramatiques » où animaux et objets quotidiens acquièrent parole et pensée pour dénoncer les injustices subies par les faibles. L’adaptation préserve la structure classique du genre avec ses récits courts culminant sur une morale explicite. Le dessinateur américain parvient à varier intelligemment la longueur narrative, certaines fables s’épanouissant sur sept pages quand d’autres se concentrent sur une seule.
Les fables emblématiques sont présentes : « Le Corbeau et le Renard« , « La Cigale et les Fourmis« , « Le Cheval et le Soldat« . Eric Vincent enrichit cette sélection de récits moins connus, offrant une découverte renouvelée. Sa transposition graphique anime l’univers anthropomorphique des fables, donnant corps aux allégories morales
Le trait d’Eric Vincent, formé dans l’underground comix des années 1970, se révèle parfaitement adapté à l’exercice. Son approche rend chaque animal immédiatement reconnaissable tout en lui conférant « l’esprit humain qui lui est propre ». L’illustrateur déploie une « large palette d’émotions » et une « ivresse touchante dans les traits » qui dépasse le simple anthropomorphisme pour atteindre une véritable expressivité dramatique.
Cette adaptation s’inscrit dans la tradition de Classics Illustrated : rendre la littérature classique accessible au plus grand nombre. Eric Vincent réussit le pari de moderniser ces textes antiques sans en trahir l’esprit moralisateur. L’ouvrage, accompagné d’un CD audio avec la musique originale de Goran Vejvoda, constitue un pont idéal entre patrimoine littéraire et culture contemporaine.
Cette bande dessinée réussit le difficile équilibre entre fidélité au texte source et renouvellement graphique, offrant aux lecteurs de tout âge une redécouverte enchanteresse de ces leçons de sagesse universelles.
Le youtuber ès-Histoire Benjamin Brillaud nous entraîne des rives du Nil aux pieds des pyramides découvrir les divinités et croyances de l’Egypte antique. Anubis, Aton, Osiris, Isis et les pratiques religieuses du peuple égyptien n’auront plus de secret pour vous après la lecture de ce récit complet, savoureux mélange de vulgarisation historique parfaitement documentée et d’humour !
La bd « Nota Bene – La Mythologie égyptienne » disponible ici
L’avis d’histoiregeobd.com sur la bande dessinée « Nota Bene – La Mythologie égyptienne »
Nota Bene – La Mythologie égyptienne propose, en 56 pages, un voyage malin et documenté au cœur de l’Égypte antique, fidèle à l’esprit pédagogue de Benjamin Brillaud. L’album s’ouvre sur une mise en scène du célèbre YouTubeur, dromadaire et pyramide en toile de fond, pour replacer le lecteur dans un univers aussi réaliste que fantasmé.
Au niveau du scénario, Mathieu Mariolle et Benjamin Brillaud démêlent habilement cosmogonie, rites funéraires et scènes de pouvoir : la naissance d’Atoum, la rivalité entre Osiris et Seth, l’amour d’Isis sont détaillés avec précision. Les passages sur la momification, abondants mais rythmés par des anecdotes et clins d’œil, évitent la lourdeur grâce à un dosage constant d’humour et d’exemples concrets.
Visuellement, le trait de Phil Castaza reprend la patte semi-réaliste de la série tout en insufflant un ton plus expressif : couleurs vives, cartouches « à l’égyptienne » et cases larges servent le propos en mêlant sérieux historique et décalage graphique. Les quelques anachronismes, comme Champollion jouant au Rubik’s Cube, soulignent la pédagogie ludique sans nuire à la rigueur factuelle.
Cet opus séduira tant le néophyte avide de mythes authentiques que le passionné d’Histoire cherchant une vulgarisation claire et savoureuse. À recommander aux lecteurs curieux de redécouvrir un pan essentiel de notre héritage, sous un angle à la fois sérieux et détendu.
« De tous les peuples de la Gaule, les Belges sont les plus braves. » Automne de l’année 54 av. J.-C., au nord de la forêt d’Ardenne, un homme rongé par une haine farouche des Romains, harangue le peuple. Nous sommes libres car nous avons la volonté de l’être ! Jamais César ne nous imposera sa loi ! Rome va enfin savoir que nous existons et apprendre à ses dépens qui nous sommes !!! Le moment est venu ! Je suis Ambiorix, roi des Éburons ! S’en suivit la bataille d’Atuatuca ! Cinq mille légionnaires périrent sous les coups des guerriers d’Ambiorix. Cette défaite, plus humiliante par son ampleur que celle de Gergovie, a profondément affecté César. Gifle suprême à la face de Rome, l’aigle de la légion anéantie, ne fut jamais retrouvée.
La bd « Ambiorix » disponible ici
L’avis d’histoiregeobd.com sur la bande dessinée « Ambiorix »
« Je suis déchiré entre ce qu’on nous a toujours appris et ce qui vient de m’être révélé… Partie ! N’importe où pourvu que je laisse derrière moi ce fardeau trop lourd… » Paul de Tarse
La bd « Paul de Tarse, le chemin de Damas » disponible ici
L’avis d’histoiregeobd.com sur la bande dessinée « Paul de Tarse, le chemin de Damas »
Publié en mai 2006, Paul de Tarse – Le chemin de Damas propose une relecture de la conversion de Saül de Tarse, persécuteur zélé des premières communautés chrétiennes devenu l’apôtre Paul après son « appel » sur la route de Damas. Dominique Bar y déploie une narration sobre et rigoureuse, s’appuyant sur les Actes des Apôtres pour ancrer le récit dans le Ier siècle, entre Jérusalem, Tarse et Damas.
L’auteur-dessinateur choisit un graphisme en quadrichromie aux teintes chaudes, où chaque planche dégage une intensité visuelle forte. Les décors sont fidèles aux reconstitutions historiques, les costumes et l’architecture romaine restituant avec soin l’atmosphère méditerranéenne de l’époque.
Au niveau du scénario, la progressivité du cheminement psychologique de Paul est maîtrisée : les dialogues, parfois sobres, privilégient l’essentiel et laissent respirer les silences, renforçant l’impact des moments de révélation ou de conflit intérieur. L’expressivité des visages, servie par un trait réaliste et précis, rend palpable la dimension mystique de la conversion.
Récompensé par le Prix Gabriel de la BD chrétienne 2006, cet album séduira tant les passionnés d’histoire ancienne que les lecteurs en quête d’une approche sensible et documentée de la foi : une BD réussie !
La tradition de l’église orientale et la légende se rencontrent en la personne de sainte Hélène, servante devenue impératrice chrétienne au IIIème siècle. C’est grâce à son fils, l’empereur Constantin, qu’elle entreprit de redécouvrir les lieux de la Passion du Christ et mit au jour la relique de la Croix. Un destin exceptionnel, entré par la grande porte et pour toujours dans l’histoire du christianisme.
La bd « Sainte Hélène, la quête de la croix » disponible ici
L’avis d’histoiregeobd.com sur la bande dessinée « Sainte Hélène, la quête de la croix »
La vraie histoire de la guerre des Gaules et de la victoire de César sur « ces irréductibles Gaulois ».
La bd « Les Gaulois contre César » disponible ici
L’avis d’histoiregeobd.com sur la bande dessinée « Les Gaulois contre César »
Publié en 2006 chez Larousse, Les Gaulois contre César s’intègre à la collection « L’histoire en BD », proposant un one-shot de 48 pages qui plonge le lecteur au cœur de la guerre des Gaules (58-52 av. J.-C.).
D’emblée, Jean Markale fait preuve d’une rigueur historique, s’appuyant sur les Commentaires de César tout en éclairant les enjeux politiques et culturels de l’époque. La relation complexe entre Jules César et Vercingétorix est dépeinte avec subtilité : d’anciens alliés unis contre l’envahisseur à rivaux déterminés. Les passages explicatifs, intégrés directement dans les dialogues, illustrent la volonté didactique de l’auteur sans alourdir la progression narrative.
Sur le plan graphique, Xavier Musquera adopte une ligne claire épurée, où chaque planche offre un équilibre entre détails topographiques et expressivité des visages ; les couleurs vives de Julie Massin renforcent l’ambiance guerrière. Les décors, qu’ils soient forêts gauloises ou camps romains, participent à l’immersion.
En conclusion, cette BD historique, soutenu par un dessin soigné et un scénario documenté, constitue un excellent support pour les jeunes adultes et les passionnés d’histoire antique.
Adapté des longs poèmes épiques d’Ovide écrits entre l’an 1 et l’an 8 après J-C.
Bienvenue dans un monde de mystères et de sortilèges ! Des hommes changés en lions, des statues qui prennent vie, un amoureux qui s’aventure aux Enfers pour retrouver sa belle… quand les dieux de l’Olympe s’en mêlent, plus rien n’est impossible ! Avec cette bande dessinée, retrouvez douze des plus célèbres légendes racontées par le grand Ovide.
La bd « Les Métamorphoses d’Ovide » disponible ici
L’avis d’histoiregeobd.com sur la bande dessinée « Les Métamorphoses d’Ovide »
Les Métamorphoses d’Ovide de Béatrice Bottet et Ariane Pinel transpose avec brio l’œuvre monumentale du poète augustéen en bande dessinée accessible. Cette adaptation de 63 pages sélectionne judicieusement douze récits emblématiques parmi les 230 métamorphoses originales, de Lycaon transformé en loup jusqu’aux oreilles d’âne du roi Midas.
L’expertise de Béatrice Bottet, historienne spécialiste de la mythologie grecque, transparaît dans cette vulgarisation intelligente qui préserve la complexité psychologique des personnages ovidiens. La scénariste instaure un fil conducteur original en ponctuant chaque épisode de retours sur l’Olympe, créant une cohérence narrative absente du texte source tout en offrant un regard malicieux des divinités sur les folies humaines.
Le trait d’Ariane Pinel, formée aux arts décoratifs de Strasbourg, sert parfaitement ce projet pédagogique. Son graphisme précis mais accessible capture l’essence dramatique des métamorphoses avec une économie de moyens remarquable. Les expressions faciales révèlent subtilement les émotions des protagonistes, tandis que sa palette chromatique aux tons vintage évoque efficacement l’antiquité mythologique. L’illustratrice excelle particulièrement dans le traitement humoristique, rendant digeste les aspects les plus sombres d’Ovide sans les édulcorer.
Cette bande dessinée constitue une porte d’entrée idéale vers l’univers des Métamorphoses, réussissant le défi de rendre Ovide contemporain sans trahir sa poésie originelle. Idéal pour un jeune lectorat.
Quand on pense à la Grèce Antique, on pense immédiatement à ses dieux innombrables et aux premiers Jeux Olympiques. Venez découvrir la réalité derrière les mythes, avec sérieux et humour. Rencontrez toutes les compagnes de Zeus, Prométhée, Hérakles et ses douze travaux, la légendaire Toison d’Or et même le premier robot de l’histoire : Talos !
La bd « Nota Bene – La Mythologie Grecque » disponible ici
L’avis d’histoiregeobd.com sur la bande dessinée « Nota Bene – La Mythologie Grecque »
Philippe Castaza signe avec ce cinquième tome de la collection Nota Bene une adaptation graphique remarquable de l’univers du vulgarisateur Benjamin Brillaud, créateur de la célèbre chaîne YouTube éponyme comptant plus de deux millions d’abonnés. Accompagné au scénario par Mathieu Mariolle, ce récit pédagogique explore la mythologie grecque avec un savant mélange de rigueur documentaire et d’humour intelligent.
L’album démystifie les grandes figures de l’Olympe en présentant Zeus et ses nombreuses conquêtes, Héraclès et ses douze travaux, ou encore Prométhée, tout en évoquant des éléments moins connus comme Talos, le premier robot de l’histoire. Cette approche encyclopédique s’appuie sur les sources antiques pour offrir une vision synthétique mais précise de la cosmogonie grecque, révélant la réalité derrière les mythes.
Philippe Castaza, dessinateur expérimenté actif depuis 1990, déploie un style graphique caricatural et expressif parfaitement adapté au propos. Ses dessins simples mais explicites facilitent la compréhension tout en intégrant des références architecturales et vestimentaires fidèles à la vision traditionnelle de la Grèce antique. Le coloriste Joël Odone sublime l’ensemble par une palette chromatique qui soutient l’émotion du récit.
Destiné à un large public, de la sixième aux classes de seconde, cet album de 56 pages constitue un excellent point d’entrée vers l’univers mythologique grec. Il réussit le pari de conjuguer divertissement et apprentissage, confirmant le talent de Benjamin Brillaud pour transformer la vulgarisation historique en aventure captivante. Cette BD permet d’aborder des sujets complexes sans jamais tomber dans le ton professoral.
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