Album publié en 2018 aux Editions Glénat.

Résumé éditeur

Quelques fragments des rêves de nos lointains ancêtres.

Il y a environ 20 500 ans, le dernier maximum glaciaire s’achève. Jusqu’aux alentours de -13 000 ans, la grande plaine européenne connaît un climat instable, mais qui tend à se radoucir un peu.

La flore et la faune changent. Les mammouths et rhinocéros laineux commencent à disparaître, mais les troupeaux de grands herbivores prospèrent.

Durant ces millénaires, la dernière grande culture du paléolithique supérieur se développe : le magdalénien.

Ce nouvel album de L’Art préhistorique en BD s’intéresse cette fois à la dernière période charnière de notre préhistoire : celle qui vit arriver le plus fort développement des arts et des techniques.

Un ouvrage ludique et pédagogique qui s’adresse aussi bien aux enfants qu’aux adultes et qui permet une meilleure connaissance de nos ancêtres.

La bd « L’Art préhistorique en BD – Tome 03 – Troisième époque » disponible ici

L’avis d’histoiregeobd.com sur la bande dessinée « L’Art préhistorique en BD – Tome 03 – Troisième époque »

L’Art préhistorique en BD – Tome 03 – Troisième époque d’Éric Le Brun s’impose comme une référence incontournable pour quiconque souhaite explorer la richesse artistique du Magdalénien, période charnière du Paléolithique supérieur. Le Brun, spécialiste passionné de Préhistoire, s’appuie sur une documentation rigoureuse et des visites personnelles de grottes ornées pour offrir une restitution fidèle et immersive des dernières grandes innovations artistiques de nos ancêtres, entre -20 500 et -13 000 ans.

L’album se distingue par son approche documentaire et pédagogique : il ne s’agit pas d’une fiction mais d’un voyage illustré à travers les sites emblématiques tels que Font-de-Gaume, La Madeleine ou Rouffignac. Le récit, dépourvu de personnages récurrents, privilégie la transmission du savoir et la reconstitution minutieuse des gestes, techniques et contextes sociaux des artistes préhistoriques. Les thèmes majeurs — l’évolution des techniques, la diversité des supports, la relation à l’environnement — sont abordés avec clarté, rendant accessible la complexité de cette époque à un public large, adultes comme enfants.

Graphiquement, le style d’Éric Le Brun conjugue précision scientifique et élégance du trait. Le noir et blanc, ponctué de rares touches de couleur pour mettre en valeur les fresques, restitue l’atmosphère des grottes et la puissance émotionnelle des œuvres pariétales. Ce choix esthétique, à la fois réaliste et évocateur, permet de ressentir la fascination et l’émotion face à ces chefs-d’œuvre millénaires.

Ce troisième tome s’adresse autant aux amateurs de Préhistoire qu’aux enseignants ou curieux d’art, offrant un outil pédagogique d’une grande richesse et une invitation à s’émerveiller devant la créativité de nos lointains ancêtres. Un ouvrage essentiel pour comprendre l’universalité et la permanence du geste artistique humain.

Album publié en 2013 aux Editions Glénat.

Résumé éditeur

« Nous n’avons rien inventé »

Il y a environ 29 000 ans, alors que l’Europe connaît les débuts d’un important refroidissement climatique, les groupes d’Homo sapiens développent la culture gravettienne, puis lors du maximum glaciaire, la culture solutréenne.

Ces nomades, qui migrent au rythme des saisons et du gibier, sont de fabuleux artistes ! Les statuettes féminines, connues de l’Atlantique à l’Oural, sont caractéristiques du Gravettien, comme les empreintes de mains peintes, découvertes dans de nombreuses grottes. Ils enterrent aussi leurs morts, et certains groupes inventent même le tissage et la céramique !

Dans ce deuxième tome, Éric Le Brun vous propose de visiter les sites incontournables de l’art préhistorique, comme la célèbre grotte de Lascaux, et fourmille d’informations passionnantes sur la vie de nos ancêtres.

La bd « L’Art préhistorique en BD – Tome 02 – Deuxième époque » disponible ici

L’avis d’histoiregeobd.com sur la bande dessinée « L’Art préhistorique en BD – Tome 02 – Deuxième époque »

Dans ce second volume de L’Art préhistorique en BD, Éric Le Brun poursuit son exploration érudite et passionnante de la créativité humaine à l’aube de l’histoire, s’attachant ici aux périodes du Gravettien et du Solutréen, il y a environ 29 000 à 20 000 ans, au cœur de la dernière grande glaciation européenne. 
L’auteur, reconnu pour sa rigueur scientifique et sa passion communicative, s’appuie sur les découvertes majeures de sites tels que Lascaux, Brassempouy ou Pech-Merle pour restituer la vie et l’art des Homo sapiens, ces artistes nomades qui ont façonné statuettes, peintures rupestres et premiers objets de culte.

Éric Le Brun adopte une approche documentaire, sans personnages récurrents ni intrigue fictive : il privilégie la restitution fidèle des gestes, des techniques et des rituels, rendant palpable la dimension sociale et symbolique de l’art préhistorique. Les thèmes majeurs – la migration, la survie, la spiritualité, la transmission – sont abordés à travers la description minutieuse des œuvres (empreintes de mains, statuettes féminines, sépultures), révélant la profondeur psychologique de ces sociétés, entre besoin d’expression et affirmation identitaire.

Le style graphique, dominé par un noir et blanc précis, élégant et réaliste, confère à l’ensemble une sobriété qui magnifie les rares touches de couleur, réservées à la découverte des fresques ou des objets remarquables.  La clarté du trait, alliée à la fidélité des reconstitutions, fait de chaque planche un véritable outil pédagogique, sans jamais sacrifier la dimension artistique.

L’Art préhistorique en BD – Deuxième époque s’impose comme une référence pour tous ceux qui souhaitent comprendre l’origine de l’art et la richesse des cultures paléolithiques. Accessible aux passionnés comme aux néophytes, cette bande dessinée documentaire allie précision, sensibilité et pédagogie, invitant à un voyage fascinant aux sources de notre humanité.

Album publié en 2012 aux Editions Glénat.

Résumé éditeur

Les premières œuvres d’art de l’humanité sur les parois de la grotte Chauvet

Dans la grotte Chauvet, en Ardèche, ont été découverts en 1994 les dessins les plus anciens de l’humanité.

Ces œuvres fragiles ont traversé le temps jusqu’à nous. Ce n’est pas seulement leur conservation exceptionnelle qui les rend remarquables : ce sont aussi les qualités esthétiques et la maîtrise technique des hommes qui les ont exécutées, il y a plus de 30 000 ans.

La BD d’Eric Le Brun, préfacée par le spécialiste d’art préhistorique Jean Clottes, nous plonge aux origines du dessin, mais aussi de la sculpture, des bijoux et de la musique.

Pour les amateurs de BD, de Préhistoire, après une visite ou pour accompagner le programme scolaire, cette bande dessinée solidement documentée rassasiera la curiosité des grands et des petits.

La bd « L Art préhistorique en BD – Tome 01 – Première époque » disponible ici

L’avis d’histoiregeobd.com sur la bande dessinée « L Art préhistorique en BD – Tome 01 – Première époque »

L’Art préhistorique en BD – Tome 01 – Première époque d’Éric Le Brun s’impose comme une référence incontournable pour qui souhaite explorer les origines de l’art humain.
Spécialiste passionné, Éric Le Brun s’appuie sur une documentation rigoureuse, validée par des préhistoriens, pour plonger le lecteur au cœur du Paléolithique supérieur, précisément à l’époque aurignacienne, celle des premières grottes ornées telles que Chauvet, Pair-non-Pair ou encore Baume Latrone.

La narration, solidement documentée, privilégie la transmission des connaissances : il ne s’agit pas ici de suivre des personnages fictifs, mais de restituer avec clarté et émotion le contexte de création des œuvres pariétales, des bijoux ou des instruments de musique produits il y a plus de 30 000 ans.

Éric Le Brun parvient à rendre palpable l’atmosphère de l’époque, invitant le lecteur à partager l’émerveillement des premiers artistes de l’humanité face à la paroi vierge d’une grotte.

Graphiquement, l’album séduit par un style à la fois réaliste et expressif : le trait précis, parfois rehaussé de touches de couleur, met en valeur la beauté brute des fresques et la maîtrise technique de leurs auteurs. L’alternance entre rigueur scientifique et liberté d’interprétation confère à l’ensemble une dimension à la fois pédagogique et poétique.

Ce premier tome s’adresse aussi bien aux passionnés de Préhistoire qu’aux enseignants ou aux familles curieuses de comprendre la naissance de l’art. Par son approche didactique et sensible, il réussit à faire dialoguer passé et présent, et à rappeler combien l’art est indissociable de l’aventure humaine.