Santiago Ramon y Cajal est l’un des plus importants scientifiques espagnols de tous les temps, lauréat du prix Nobel et père de la neurobiologie moderne. Sa vie est un exemple de persévérance, de travail acharné et de dévouement, mais il est aussi plein de curiosité, d’imagination et d’humilité.
La bd « Ramon y Cajal – Une vie au microscope » disponible ici
L’avis d’histoiregeobd.com sur la bande dessinée « Ramon y Cajal – Une vie au microscope »
Dans la collection « Petite encyclopédie scientifique », Jordi Bayarri nous offre une immersion fascinante dans l’univers de Santiago Ramon y Cajal, lauréat du prix Nobel et père fondateur de la neurobiologie moderne. Cette bande dessinée retrace le parcours exceptionnel de ce scientifique espagnol du début du XXe siècle, dont les découvertes sur les neurones ont révolutionné notre compréhension du cerveau humain.
La narration, à la fois didactique et captivante, met en lumière les qualités humaines qui ont façonné le génie de Santiago Ramon y Cajal : persévérance, curiosité insatiable et humilité remarquable face aux mystères du système nerveux. Jordi Bayarri parvient à équilibrer avec brio les aspects biographiques et scientifiques, transformant ce qui aurait pu être un simple récit éducatif en une véritable aventure intellectuelle.
Le style graphique épuré de Jordi Bayarri sert admirablement le propos. Ses illustrations claires et précises font écho aux célèbres dessins anatomiques réalisés par Santiago Ramon y Cajal lui-même, ces « papillons de l’âme » qui cartographiaient pour la première fois les structures neuronales. Cette approche rend accessible la complexité scientifique.
« Ramon y Cajal – Une vie au microscope » est une BD remarquable de vulgarisation scientifique, idéale pour initier les jeunes lecteurs aux grandes découvertes qui ont façonné notre monde.
Adapté du roman de Romain Gary(allias Émile Ajar)publié le 14 septembre 1975.
Vendu à plus de 2 millions d’exemplaires, La Vie devant soi est avec La Promesse de l’aube le livre le plus populaire de Romain Gary / Emile Ajar. Paru en 1975, le roman a été récompensé par le Prix Goncourt il y a 50 ans. Cette version illustrée par Manuele Fior, tête de file de la nouvelle BD italienne, déjà vendue à 10 000 exemplaires, bénéficie d’une nouvelle couverture.
La bd « La vie devant soi » disponible ici
L’avis d’histoiregeobd.com sur la bande dessinée « La vie devant soi »
L’adaptation graphique de La vie devant soi par Manuele Fior magnifie l’œuvre culte de Romain Gary (publiée sous le pseudonyme d’Émile Ajar en 1975) par une approche visuelle d’une délicatesse remarquable. Cinquante ans après son Prix Goncourt, ce roman emblématique trouve une nouvelle incarnation qui révèle toute la modernité de son propos sur l’amour filial et la solidarité interculturelle.
Le travail de Manuele Fior dépasse la simple illustration pour proposer une véritable « transformation du langage », selon les propres mots de l’artiste italien. Son style graphique, caractérisé par un camaïeu d’orangé et un trait rapide, esquissé, qui fait penser à une photo sépia et aux souvenirs d’enfance, sert parfaitement l’atmosphère mélancolique et tendre du récit. Cette palette chromatique vintage évoque l’univers du Belleville des années 1970, tout en conférant une dimension intemporelle à l’histoire de Momo et Madame Rosa.
Manuele Fior fait le choix d’un style simple, épuré, rapide à la gouache, technique qui lui permet de modifier, de revenir, d’améliorer ses compositions. Cette approche technique reflète parfaitement la vivacité physique et mentale de Momo, le jeune narrateur dont le regard oscille entre naïveté enfantine et lucidité précoce. Les décors, traités avec une économie de moyens remarquable, laissent toute la place aux personnages et à leurs expressions.
Ce qui frappe dans cette adaptation, c’est la symbiose entre texte et dessins. Manuele Fior, reconnu internationalement depuis son Fauve d’Or 2011 pour Cinq mille kilomètres par seconde, démontre ici sa maîtrise de l’adaptation littéraire. Ses illustrations insufflent littéralement la vie à ces personnages.
L’artiste italien se dépasse dans la représentation de la galerie de personnages haute en couleur imaginée par Romain Gary : Madame Rosa, l’ancienne prostituée juive rescapée d’Auschwitz ; Madame Lola, le travesti sénégalais ; Monsieur Hamil, le sage marchand de tapis. Chaque figure trouve sa juste incarnation graphique, respectant l’esprit du texte original tout en apportant une dimension visuelle inédite.
L’adaptation graphique de Manuele Fior est un modèle du genre, prouvant que l’illustration littéraire peut dépasser son statut d’accompagnement pour devenir un art à part entière. Elle offre une lecture renouvelée de ce classique de la littérature française, accessible aux nouvelles générations et respecte l’intégrité de l’œuvre originale. Une réussite artistique qui honore autant l’héritage de Romain Gary que le talent exceptionnel de son illustrateur
Cette édition collector n&b, grand format, de l’adaptation de « Kernok le pirate » est signée par Riff Reb’s, auteur virtuose reconnu pour sa « trilogie maritime » parue dans la collection noctambule.
Un soir de tempête, Kernok, pirate sans pitié, se fait prédire l’avenir avant un nouveau départ en mer : la sorcière de la baie de Pempoul lui annonce une mort prochaine, tel un couperet menaçant. Cette prédiction dictera alors son chemin de vie…
Premier roman d’Eugène Sue, ce récit palpitant est un petit chef-d’œuvre d’aventure féroce et d’humour noir, magistralement adapté par Riff Reb’s, auteur virtuose de « La Trilogie maritime« , publiée dans la collection Noctambule.
Cette édition collector N&B, grand format, sublimée par la profondeur des noirs et la luminosité des blancs, est agrémentée d’un cahier graphique et d’un magnifique tirage inédit.
La bd « Kernok Le Pirate » disponible ici
L’avis d’histoiregeobd.com sur la bande dessinée « Kernok Le Pirate »
Adapté du roman de Maggie Stiefvater publié pour la première fois en 18 septembre 2012.
Depuis toujours, Blue Sargent sait qu’embrasser son véritable amour le tuera. Ce n’est pas une métaphore. C’est une prophétie. Et quand on grandit entourée de voyantes, on prend les prédictions au sérieux. Blue s’est donc résolue à se tenir à bonne distance de la gent masculine. Mais tout bascule lorsqu’elle rencontre les Corbeaux –; Gansey, Ronan, Adam et Noah –;, quatre étudiants d’Aglionby, un lycée privé aux allures de château. Ensemble, ils sont sur la piste d’un roi endormi depuis des siècles et d’une magie ancienne. Avec, à la clé, la promesse d’un pouvoir immense, dangereux et surtout convoité. Car ils ne sont peut-être pas les seuls à le chercher…
La bd « The Raven Boys – 1 – La prophétie de Glendower » disponible ici
L’avis d’histoiregeobd.com sur la bande dessinée « The Raven Boys – 1 – La prophétie de Glendower »
Née dans la Russie tsariste, où les femmes n’étaient pas autorisées à effectuer des études supérieures, Sofia Kovalevskaïa fut la première femme à obtenir un doctorat en mathématiques dans une université allemande, puis la première femme à se voir attribuer un poste de professeur d’université en Europe, en Suède. Dans cette bande dessinée aussi délicate qu’incisive, Alice Milani retrace la trajectoire hors du commun de cette jeune femme à la détermination sans faille, aussi féministe que sa sœur ainée engagée dans la Commune de Paris, qui dut affronter les réticences de ses proches et combattre les préjugés de la communauté scientifique alors exclusivement masculine pour parvenir à s’imposer dans le milieu universitaire.
La bd « Sofia Kovalevskaïa – Vie et révolutions d’une mathématicienne géniale » disponible ici
L’avis d’histoiregeobd.com sur la bande dessinée « Sofia Kovalevskaïa – Vie et révolutions d’une mathématicienne géniale »
Alice Milani, déjà remarquée pour « Marie Curie », couche sur le papier le destin de Sofia Kovalevskaïa dans une bande dessinée de 219 pages, traduite de l’italien par Laura Brignon et publiée chez Cambourakis en octobre 2023.
Alice Milani excelle à faire découvrir le parcours scientifique de la première femme docteure en mathématiques d’une université allemande et ses engagements révolutionnaires. Les chapitres consacrés à sa collaboration avec les nihilistes russes et à la Commune de Paris sont traités avec un équilibre historique, illustrant comment la mathématicienne repoussa les frontières académiques et politiques.
Sur le plan graphique, le style d’Alice Milani confère une texture organique, traduisant tantôt la rigueur des équations différentielles, tantôt l’effervescence des débats révolutionnaires. Les choix chromatiques, réduits à une palette sobre, soulignent l’opposition entre la froideur universitaire et l’ardeur des idées. Parfois rugueux, parfois délicat, le dessin sert un récit fluide où chaque case devient le témoin d’une lutte pour l’émancipation scientifique et féminine.
Recommandée à tout lecteur intéressé par l’histoire des sciences et les combats féministes, cette œuvre restitue l’héritage d’une pionnière des mathématiques dont l’influence résonne encore aujourd’hui.
Adapté du roman Sur le globe d’argent de Jerzy Zuławski (publié pour la première fois en 1903).
En 1913, la première expédition lunaire part de la Terre. Cinq aventuriers se dirigent vers la face cachée du globe d’argent, où ils supposent qu’il y a une atmosphère. Rapidement, le contact avec eux est perdu. Personne ne sait ce qu’ils ont découvert ni s’ils sont encore en vie… C’est une histoire de mort, d’amour, de nostalgie et d’espoir. Un huis clos mêlant SF et horreur dans une ambiance délicieusement rétro, librement adapté d’un roman polonais de Jerzy Zulawski, précurseur de la littérature de science-fiction polonaise. Ce roman avait été adapté au cinéma par Andrzej Zulawski, petit-neveu de l’auteur, en 1987 sous le titre Sur le globe d’argent.
La bd « Les Lunatiques » disponible ici
L’avis d’histoiregeobd.com sur la bande dessinée « Les Lunatiques »
Adapté des versions de la légende publiée par Béroul et Thomas d’Angleterre vers 1175.
L’amour ne connaît pas de frontière.
Réfugié au château de Tintagel où son oncle le roi Marc le tient en haute estime, Tristan va prouver sa bravoure lors d’un combat qui engage le sort de la population. Par sa victoire contre le Morholt, il libère la terre de Cornouailles du joug des Irlandais ! Mais durant le combat, Tristan est blessé par la lame empoisonnée de son adversaire. Croyant sa dernière heure arrivée, il prend la mer et s’abandonne aux flots qui le portent alors… en Irlande où il s’y trouve recueilli et soigné par la reine, sœur du défunt Morholt, qui ne voit en lui qu’un simple barde égaré. Une fois remis de son mal, Tristan rejoint Tintagel le cœur lourd car, durant sa convalescence, il s’est épris de la fille de la souveraine, la jeune princesse Iseult…
Après Lancelot, cette épopée médiévale nous invite à redécouvrir le mythe fondateur de l’amour courtois. Une aventure extraordinaire pour une saga en 4 volumes. Dans ce second album, le destin mettra Iseult sur le chemin de Tristan, qui dévoile par son courage et ses nobles sentiments un cœur chevaleresque.
La bd « Tristan Et Iseult – 2 – La blessure du Morholt » disponible ici
L’avis d’histoiregeobd.com sur la bande dessinée « Tristan Et Iseult – 2 – La blessure du Morholt »
Adaptation des textes médiévaux de Béroul et Thomas d’Angleterre, ce deuxième tome de la saga explore les origines de l’amour courtois à travers le cycle légendaire breton. Clotilde Bruneau et Luc Ferry revisitent ce mythe fondateur en privilégiant la dimension chevaleresque et psychologique du héros, loin des clichés romantiques. Le scénario construit le destin croisé de Tristan et Iseult par le biais d’un combat épique contre le Morholt, frère de la reine d’Irlande, où se révèlent les valeurs du guerrier courtois : bravoure, honneur et acceptation du sacrifice.
Giuseppe Baiguera offre un dessin réaliste d’une grande clarté, particulièrement efficace dans les scènes de combat où la tension dramatique s’exprime par une mise en page dynamique et des détails anatomiques convaincants. Son trait précis convient parfaitement à la reconstitution des châteaux médiévaux et aux environnements historiques. Le traitement graphique de la blessure empoisonnée, métaphore du destin inéluctable, enrichit le propos.
Une belle illustration de la richesse thématique de la légende arthurienne.
Adapté des versions de la légende publiée par Béroul et Thomas d’Angleterre vers 1175.
Aux origines de l’amour courtois.
Orphelin, Tristan de Loonois, fils de Blanchefleur, porte un nom empreint de tristesse. Élevé par des servantes au château, il est initié très tôt à tous les arts de la guerre. Mais sous la menace du duc Morgan, le jeune Tristan est contraint de fuir ses terres. Il trouvera refuge au sud de l’Angleterre, au château de Tintagel où son oncle le roi Marc l’accueille. Une fois à la cour, Tristan va montrer ses nombreux talents et devenir rapidement le favori du roi. Quand l’heure vient pour ce dernier de s’acquitter d’une terrible donation au roi d’Irlande, Tristan s’interpose. Continuer à livrer des jeunes gens comme tribut au seigneur irlandais est un prix trop élevé ! Pour mettre fin à ce calvaire, le jeune homme devra se montrer vaillant en affrontant le monstrueux Morholt, frère d’Iseut, la reine d’Irlande. Élevé au rang de chevalier pour l’occasion, il va par ce biais accomplir son premier exploit. Grâce à cet acte héroïque, le destin va bientôt mettre sur sa route la belle Iseult…
Après Lancelot, cette nouvelle épopée médiévale nous invite à redécouvrir le mythe fondateur de l’amour courtois. Une aventure extraordinaire pour une saga en cinq volumes. Ce premier album nous invite à explorer l’enfance du héros et ses origines avant la rencontre avec Iseult.
La bd « Tristan Et Iseult – 1 – Le Château de Tintagel » disponible ici
L’avis d’histoiregeobd.com sur la bande dessinée « Tristan Et Iseult – 1 – Le Château de Tintagel »
Avec leur première incursion dans l’univers arthurien, Clotilde Bruneau et Giuseppe Baiguera offrent une adaptation de la légende de Tristan et Iseult, s’inscrivant dans la collection « La Sagesse des mythes, contes et légendes » dirigée par Luc Ferry chez Glénat. Ce premier tome explore les origines du héros avant sa rencontre fatidique avec Iseult, révélant la genèse d’un mythe fondateur de l’amour courtois.
La scénariste Clotilde Bruneau, reconnue pour son travail dans la collection « La Sagesse des mythes », propose ici une approche fidèle aux sources médiévales tout en offrant une lecture accessible au public contemporain. L’album retrace avec finesse l’enfance tragique de Tristan de Loonois, orphelin « dont le nom porte la tristesse » de Blanchefleur, jusqu’à son premier exploit chevaleresque contre le redoutable Morholt.
Cette vision du mythe celtique du XIIe siècle évite l’écueil de la surpuissance héroïque pour dépeindre un personnage humain, intelligent mais confronté aux épreuves du destin. La narration de Clotilde Bruneau excelle dans l’équilibre entre fidélité historique et dynamisme narratif, restituant l’atmosphère des cours médiévales avec rigueur documentaire.
Giuseppe Baiguera, dessinateur italien formé à l’école de Brescia, déploie un trait doux, bien détaillé, avec des couleurs vives et tranchées qui donne vie aux personnages. Son style graphique, inscrit dans la tradition de la ligne claire chère à Luc Ferry, se distingue par une innovation notable : l’utilisation de personnages grisés pour créer du dynamisme et faire ressortir les éléments importants.
Giuseppe Baiguera réussit le pari de restituer avec exactitude l’univers médiéval – châteaux, armes, costumes – tout en maintenant une esthétique moderne et captivante.
Au-delà du récit proprement dit, l’album s’enrichit d’un cahier documentaire de huit pages analysant la signification philosophique et l’héritage culturel du mythe. Cette dimension pédagogique, caractéristique de la collection, permet de saisir les enjeux de ce « mythe littéraire médiéval » qui influença durablement la conception occidentale de l’amour.
« Le Château de Tintagel » constitue une remarquable introduction à l’univers « tristanien », promettant pour les quatre tomes à venir une exploration approfondie de ce mythe intemporel. Une réussite.
Depuis sa création, la collection Vinifera n’a cessé d’explorer l’histoire du vin, de l’Antiquité à nos jours. Chaque album nous plonge dans les secrets et les traditions viticoles, allant des amphores de Pompéi à la viticulture biologique. Découvrez les secrets des vins de l’Antiquité à travers des intrigues mêlant habilement Histoire, fiction et vulgarisation érudite sur le vin. Deux récits passionnants qui mettent à l’honneur un breuvage millénaire.
La bd « Vinifera – Le Vin dans l’antiquité » disponible ici
L’avis d’histoiregeobd.com sur la bande dessinée « Vinifera – Le Vin dans l’antiquité »
D’après le roman de Claude Aveline publié en 1932.
Numéro 2 de la Police judiciaire, Frédéric Belot, réputé pour sa rigueur, est retrouvé mort dans son appartement, revolver à la main. Un suicide ? Une mise en scène ? Lorsque l’inspecteur Rivière se rend sur les lieux, il découvre avec stupeur… un second cadavre. Même visage, même nom. Deux Belot, deux morts : une seule vérité à dénouer.
Face à ce mystère vertigineux, l’inspecteur Rivière tente de démêler le vrai du faux, le réel du reflet. À mesure que les indices s’accumulent, une figure surgit de l’ombre et révèle un drame intime, noué dans le silence, la jalousie, et le trouble des identités.
Roman policier aux allures de tragédie, La Double Mort de Frédéric Belot(1932) fascina jusqu’à Jean Vigo, qui en rêva pour le cinéma. Près d’un siècle plus tard, cette adaptation graphique signée Jérôme Presti, en restitue toute la tension, la finesse psychologique et l’élégance noire.
La bd « La double mort de Frédéric Bellot » disponible ici
L’avis d’histoiregeobd.com sur la bande dessinée « La double mort de Frédéric Bellot »
Le roman graphique sortira en septembre 2025.
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