Eté 2006. Philippe Squarzoni finalise son album politique Dol, mais il lui reste un passage à traiter, celui de l’écologie. Peu connaisseur, il veut maîtriser son sujet et parler en détail du changement climatique. Déstabilisé par l’ampleur du problème, il s’interroge, s’informe, se trouve confronté à des impasses, ou renvoyé à de nouveaux questionnements. S’ensuivent six ans de recherches…
La bd « Saison brune » disponible ici
L’avis d’histoiregeobd.com sur la bande dessinée « Saison brune »
Saison brune de Philippe Squarzoni constitue une BD majeure du documentaire graphique contemporain. Publié en 2012 chez Delcourt (republié en 2018), ce pavé de 480 pages en noir et blanc transforme six années d’investigation rigoureuse en récit captivant sur le réchauffement climatique.
L’auteur adopte une démarche narrative autobiographique particulièrement efficace : partant de son ignorance initiale du sujet écologique lors de l’écriture de Dol, il accompagne le lecteur dans sa découverte progressive des enjeux climatiques.
Le style graphique épuré, exclusivement en noir et blanc, soutient la densité du propos. Philippe Squarzoni entremêle avec virtuosité portraits intimistes, schémas scientifiques, photographies redessinées et références cinématographiques. Cette polyphonie visuelle rend accessible la complexité des rapports du GIEC qu’il vulgarise brillamment.
Récompensé du prix Léon de Rosen de l’Académie française, Saison bruneest une lecture pour comprendre les défis environnementaux contemporains. Une réussite documentaire.
Sans les étoiles, nous ne serions pas là. En mourant, elles libèrent les atomes qui sont nécessaires à la construction de tout être vivant. Le résultat, ce sont des plantes, des animaux… toute une biodiversité très précieuse à notre survie à tous. Nous sommes tous différents, comme les animaux et les insectes qui peuplent la terre et les océans, et nous avons tous besoin les uns des autres pour vivre dans un milieu naturel commun.
La bd « Hubert Reeves nous explique – La biodiversité » disponible ici
L’avis d’histoiregeobd.com sur la bande dessinée « Hubert Reeves nous explique – La biodiversité »
Hubert Reeves nous explique – La biodiversité, publié aux éditions Le Lombard en octobre 2017, marque l’entrée réussie de l’astrophysicien québécois dans l’univers de la bande dessinée jeunesse. Fruit de la collaboration entre Hubert Reeves, la scénariste Nelly Boutinot et le dessinateur Daniel Casanave, cet album de 64 pages propose une approche originale de la vulgarisation environnementale.
La BD suit Hubert Reeves et une classe d’élèves découvrant les interconnexions du vivant à travers diverses excursions. Cette approche permet d’aborder naturellement des concepts complexes comme les cycles biogéochimiques, les boucles de rétroaction ou l’étude systémique des milieux. L’approche thématique privilégie des exemples concrets : des matériaux du viaduc de Millau aux vers de terre, chaque élément révèle sa place dans l’écosystème planétaire.
Graphiquement, Daniel Casanave opte pour un style caricatural accessible qui privilégie la clarté pédagogique au réalisme. Son trait, déjà éprouvé dans « L’Univers » de la Petite Bédéthèque des Savoirs, capture avec tendresse les interactions entre le scientifique barbu et ses jeunes interlocuteurs. Les illustrations techniques restent limpides tandis que la colorisation lumineuse de Claire Champion dynamise efficacement cette plongée naturaliste.
L’album remplit brillamment sa mission de sensibilisation environnementale. Cette première pierre d’une série prometteuse réussit le pari de rendre la science accessible, s’adressant autant aux enfants qu’à leurs parents curieux de redécouvrir les merveilles de la biodiversité.
Adapté du livre À l’aube de la 6ᵉ extinction (Comment habiter la Terre) de Bruno David publié le 6 janvier 2021.
Salomé et Félicien, deux collégiens particulièrement bavards, doivent préparer un exposé. Peu réjouis à l’idée de devoir travailler sur cet exercice, il leur est distribué un sujet des plus mystérieux : « A l’aube de la sixième extinction ». Menant des tentatives de réflexion plus vaines les unes que les autres, ils sont bientôt épaulés par Iris, une jeune scientifique rencontrée par le plus heureux des hasards. Celle-ci, spécialiste de sujets environnementaux , va ouvrir les deux adolescents à l’étendue de ses connaissances, en leur décrivant la richesse de la biodiversité et les conséquences de l’exploitation intensive des ressource énergétique et alimentaires. À son contact, ils vont se sensibiliser à des questions environnementales plus que jamais d’actualité, pour devenir ensuite, à leur échelle, les porte-paroles de l’urgence à sauver notre planète.
La bd « Le Vivant à vif » disponible ici
L’avis d’histoiregeobd.com sur la bande dessinée « Le Vivant à vif »
Comment une adaptation de roman en BD transforme-t-elle l’angoisse écologique en pédagogie lumineuse ? Voilà l’étonnant paradoxe que relève Simon Hureau dans « Le Vivant à vif« . Là où Bergman explorait la mort de Dieu, l’auteur tourangeau ausculte l’agonie du vivant avec la précision d’un entomologiste et l’empathie d’un conteur. Cette BD, adaptation du dense essai de Bruno David « À l’aube de la 6e extinction« , m’a immédiatement rappelé ma première plongée dans les planches naturalistes de Fabre – ce même émerveillement mâtiné d’inquiétude face à la complexité du monde.
L’histoire suit Félicien et Salomé, deux collégiens confrontés à un mystérieux exposé sur la « sixième extinction ». Leur rencontre fortuite avec Iris, jeune scientifique passionnée, transforme ce travail scolaire en odyssée pédagogique. Contrairement aux mangas d’heroic-fantasy où Guts de Berserk affronte des démons surnaturels, nos protagonistes découvrent que les véritables monstres se cachent dans nos habitudes consuméristes. Cette approche évite brillamment l’écueil du prêche moralisateur pour privilégier la découverte.
L’urgence climatique traverse aujourd’hui tous les débats politiques, des COP aux manifestations de la jeunesse. Simon Hureau saisit cette actualité brûlante sans tomber dans le militantisme de façade. Son trait, déjà remarquable dans « L’Oasis », atteint ici une maturité graphique .
Bruno David, paléontologue de renom et ancien directeur du Muséum d’Histoire naturelle, apporte sa caution scientifique à ce projet ambitieux. La préface ampoulée contraste heureusement avec la fluidité narrative de l’ensemble, preuve que la vulgarisation n’exclut pas la rigueur académique.
Cette BD fonctionne comme une loupe temporelle géante, révélant les mécanismes invisibles des extinctions passées pour éclairer notre présent vacillant. L’album évite les facilités catastrophistes pour privilégier une approche systémique des enjeux environnementaux. Peut-on encore ignorer que la biodiversité s’effrite plus vite que ne fondent les glaciers ? Simon Hureau transforme cette question rhétorique en fil rouge métaphorique, tissant subtilement les destins individuels et planétaires.
À offrir aux adolescents en quête de sens… et à cacher à leurs parents trop sûrs de leurs certitudes. Car comme le murmurait Darwin : « Il n’est pas le plus fort de l’espèce qui survit, mais celui qui s’adapte le mieux au changement » – une maxime que nos deux héros auraient pu faire leur dans leur périple initiatique au cœur du vivant en péril.
Et si l’eau venait à manquer ? Devra-t-on dessaler l’eau de mer ? La technologie nous sauvera-t-elle de nos excès ?
Deux amis partent à la rencontre d’acteurs clés de l’eau, lors d’un road-trip qui les mène de la Bretagne à Orléans. Le changement climatique alterne les épisodes extrêmes, sécheresses et inondations.
L’eau de nos robinets pâtit de cette nouvelle donne, comme des usages immodérés dans l’industrie, l’agriculture, sans oublier la pression démographique des métropoles et celle, touristique, sur les littoraux.
Ce docu-fiction ludique et citoyen fait l’état des connaissances sur la préservation de la ressource.
Pour de vraies solutions durables et responsables.
La bd « L’urgence de l’eau – Enquête à la source » disponible ici
L’avis d’histoiregeobd.com sur la bande dessinée « L’urgence de l’eau – Enquête à la source »
« L’urgence de l’eau – Enquête à la source« de Christian Baudu et Julie Wo est un roman graphique documentaire d’une actualité saisissante. Publié chez Locus Solus en novembre 2024, cet ouvrage de 128 pages transforme la complexité des enjeux hydriques en récit accessible et captivant.
La BD suit un road-trip initiatique mené par deux personnages complémentaires : Quentin Tiniak, écrivain techno-solutionniste, et Gwena Talbec, journaliste indépendante engagée. Cette dynamique narrative permet d’explorer les multiples facettes de la crise de l’eau, de la Bretagne à Orléans, à travers des rencontres avec scientifiques, agriculteurs, élus et militants.
Le scénariste Christian Baudu, réalisateur documentariste et cofondateur de l’association Les Hydrophiles, développe une approche scientifique rigoureuse appuyée par Gérard Gruau, directeur de recherches au CNRS. L’ouvrage aborde avec précision le grand et petit cycle de l’eau, la biodiversité aquatique, l’usage industriel et agricole…
Julie Wo, dessinatrice rennaise du collectif La Vilaine, livre pour sa première BD complète un « coup de maître ». Son style coloré et expressif, agrémenté d’infographies pédagogiques et de cartes, transforme la densité documentaire en expérience visuelle fluide et engageante. Les huit QR codes intégrés enrichissent l’expérience par des entretiens vidéo.
Cette œuvre hybride, un docu-fiction ludique et citoyen, réussit le défi de sensibiliser sans culpabiliser.
Adapté de l’essai d’Hervé Kempf publié le 4 janvier 2007.
En dix-sept ans, les riches n’ont rien appris, rien compris, rien changé. Ils se gavent. Les milliardaires ont multiplié leur fortune, la catastrophe écologique s’amplifie, la crise sociale est mondiale. Le lien entre ces phénomènes ? Les inégalités. On n’évitera pas le désastre climatique si l’on ne ramène pas les ultra-riches à la raison. C’est ce qu’explique ce livre détonnant, où une analyse implacable se combine à un dessin complice et surprenant. Inspirée de Comment les riches détruisent la planète , best-seller paru en 2007 et traduit en douze langues qui a largement contribué à montrer l’articulation intime entre crise écologique et crise sociale, cette bande dessinée s’imposait pour en actualiser les données et le constat. Elle raconte comment, en bientôt vingt ans, l’oligarchie a augmenté sa passion destructrice et endossé les nouveaux habits du capitalisme.
Dans ce livre, on rit, on pleure, on apprend, on mobilise : c’est un outil pour changer le monde. Il y a urgence.
La bd « Comment les riches ravagent la planète » disponible ici
L’avis d’histoiregeobd.com sur la bande dessinée « Comment les riches ravagent la planète »
Signée Hervé Kempf et illustrée par Juan Mendez, cette bande dessinée adaptée de l’essai de 2007 explore la responsabilité des élites dans la crise écologique. Publié en septembre 2024 par Seuil, l’album actualise un propos toujours brûlant.
Le récit articule inégalités sociales et effondrement environnemental, donnant voix à des personnages emblématiques – de la cadre d’entreprise insensible à l’activiste engagé – dont les trajectoires révèlent une psychologie subtile. Chaque dialogue, concis et percutant, soutient une réflexion fouillée sur la surconsommation et la gouvernance mondiale.
Le trait de Juan Mendez marie contours nets et palettes limitées : des teintes froides pour les scènes de pouvoir, des ocres vibrants lors des manifestations. Ce contraste amplifie l’émotion, immergeant le lecteur dans un monde où chaque case incite à l’indignation.
Équilibrant rigueur et force du dessin, cet album est une BD incontournable pour un public soucieux de comprendre les racines du dérèglement climatique.
Février 2020, Étienne Lécroart fait un rêve étrange et effrayant grâce auquel il prend conscience de ses craintes quant au réchauffement climatique : les générations futures sont véritablement en danger ! Il s’en ouvre à son ami Ivar Ekeland, mathématicien, économiste et philosophe qui s’intéresse de près à cette question. En faisant intervenir des spécialistes de diverses disciplines et des acteurs de terrain, ils font le point sur la situation actuelle et montrent que l’avenir reste ouvert : les moyens d’action sont là ; encore faut-il avoir le courage de s’en servir !
La bd « Urgence climatique – Il est encore temps ! » disponible ici
L’avis d’histoiregeobd.com sur la bande dessinée « Urgence climatique – Il est encore temps ! »
Parue le 6 septembre 2023, cette bande dessinée signée Étienne Lécroart (dessin, couleur, scénario) et Ivar Ekeland (scénario) confronte, sous la forme d’un dialogue entre rêve et réalité, le lecteur au défi climatique actuel.
Le récit s’ouvre sur un cauchemar d’Étienne Lécroart, métaphore puissante du désastre possible, puis devient une enquête vivante grâce aux échanges avec Ivar Ekeland, mathématicien, économiste et philosophe. Chaque étape fait intervenir biologistes, climatologues et acteurs de terrain pour expliciter, sans jargon inutile, l’origine et les effets du réchauffement, et souligne les leviers d’action encore accessibles.
Le trait clair et épuré d’Étienne Lécroart allie sobriété et expressivité : les planches alternent visuels didactiques et vignettes humoristiques, renforçant la pédagogie et maintenant l’attention.
Haute en enseignements et jamais dans l’excès « alarmiste », cette BD s’adresse aux acteurs et futurs acteurs de la transition. Son ton rigoureux et ludique en fait un outil idéal pour sensibiliser élèves, citoyens engagés et décideurs.
Les écosystèmes dont nous dépendons pour survivre menacent de s’écrouler. Le tableau semble bien noir, mais il y a de l’espoir. Je vous embarque avec moi dans une aventure extraordinaire, qui va changer votre regard sur la nature et les animaux.
Si l’on veut sauver notre espèce, nous devons inventer une une nouvelle manière d’habiter la terre.
La bd « Le théorème du Vaquita » disponible ici
L’avis d’histoiregeobd.com sur la bande dessinée « Le théorème du Vaquita »
Hugo Clément, journaliste militant et producteur de « Sur le Front », signe avec « Le Théorème du Vaquita » son premier roman graphique aux éditions Fayard Graffik. Co-écrit avec Vincent Ravalec et illustré par Dominique Mermoux, cet ouvrage nous plonge dans les combats écologiques contemporains.
L’œuvre tire son titre du vaquita, petit cétacé de la mer de Cortez menacé d’extinction par la pêche illégale. Hugo Clément en fait une métaphore de l’interconnexion des écosystèmes : la disparition de ce marsouin symbolise notre propre fragilité environnementale. Les douze chapitres nous emmènent des affrontements avec les braconniers mexicans aux abattoirs français, révélant l’ampleur de la « guerre » déclarée au vivant.
Le style graphique de Dominique Mermoux, aux aquarelles délicates, offre un contrepoint poétique à la violence des faits. Ses dessins créent un filtre sur la réalité qui rend l’insoutenable accessible sans édulcorer le propos.
Loin du défaitisme, cette bande dessinée documentaire insuffle l’espoir à travers les portraits des « héros du quotidien » œuvrant pour la préservation du vivant. Une BD essentielle pour comprendre les enjeux écologiques actuels, accessible aux adolescents comme aux adultes.
Album publié en 2022 aux éditions Le bord de l’eau.
Résumé éditeur
Elpise, une jeune fille inquiète pour son futur, s’interroge sur le changement climatique et ses conséquences. Elle veut comprendre ce qui se passe dans la nature et dans la société ! Son grand père, un paléoclimatologue mystérieux mais bienveillant, devrait pouvoir l’y aider. Mais comment un spécialiste des temps passés peut-t-il avoir des réponses ?
Sans le savoir, elle embarque pour un voyage à travers le temps et l’espace, à la découverte… de l’Anthropocène ! Au cours de cette expédition initiatique, les femmes, les hommes et les territoires lui réserveront de nombreuses surprises certaines négatives et d’autres positives pour l’aider à envisager, et peut être proposer, un futur désirable.
La bd « Voyage en anthropocène » disponible ici
L’avis d’histoiregeobd.com sur la bande dessinée « Voyage en anthropocène »
« Voyage en Anthropocène » de Joël Guiot (scénario) et Macha (illustrations), invite le lecteur à une exploration pédagogique du changement climatique, portée par Elpise, jeune fille curieuse, et son grand-père paléoclimatologue. Conçue hors du registre fictionnel classique, cette bande dessinée s’appuie sur une toute récente actualité scientifique et la vulgarise pour la rendre accéssible.
Le récit se distingue par sa construction en chapitres thématiques, offrant une vue d’ensemble sur l’Anthropocène, ses enjeux géopolitiques, et le rôle des citoyens face à la crise climatique. Elpise, confrontée aux défis et espoirs du monde moderne, apporte une vraie sensibilité au propos. Les dialogues, précis et documentés, facilitent la compréhension sans sacrifier à la complexité du sujet.
Graphiquement, le style coloré et didactique de Macha met en valeur l’émotion des personnages tout en rendant clairs des notions parfois ardues. Les schémas et changements d’échelle géographique consolidant l’effet immersif.
Cette BD, alliant exigence scientifique et scénario accessible, est idéale pour adolescents, enseignants ou les curieux désireux de comprendre les enjeux contemporains du climat.
Rien de tel qu’une bande dessinée pour expliquer clairement et avec humour les notions généralement jugées complexes.
Larry Gonick va dans cet ouvrage vous faire comprendre les grands principes qui sous-tendent l’écologie grâce à ces 240 pages d’explications claires et illustrées en bande dessinée.
La bd « L’écologie en BD » disponible ici
L’avis d’histoiregeobd.com sur la bande dessinée « L’écologie en BD »
L’écologie en BD, paru chez Larousse le 2 octobre 2024, est la traduction actualisée par Vanina Pialot du Cartoon Guide to the Environment de Larry Gonick et Alice Outwater, initialement publié en 1996 aux États-Unis. Cet album de 218 pages propose quatorze chapitres répartis en deux grandes parties : l’écologie fondamentale (cycles biogéochimiques, dynamiques de populations) puis l’impact humain (urbanisation, ressources, changement climatique).
Au niveau du scénario, l’ouvrage allie rigueur scientifique et pédagogie humoristique : les personnages muets et les vignettes animées offrent une véritable profondeur métaphorique, transformant des concepts complexes (thermodynamique, réseau trophique) en scénarios engageants. Chaque exemple, comme l’effondrement des populations de l’île de Pâques, est étayé par des schémas clairs et des dialogues concis, renforçant la compréhension.
Graphiquement, Larry Gonick privilégie un style épuré, lignes nettes et lettrages expressifs : l’humour visuel capte l’attention, tout en veillant à ne jamais caricaturer les enjeux sérieux.
L’écologie en BD est une BD pour étudiants ou curieux d’écologie, avide de connaissances scientifiques clarifiées par un dessin intelligent.
Album publié en 2025 aux éditions Presses Polytechniques Romandes.
Résumé éditeur
Aïcha, étudiante en intelligence artificielle (IA), en est convaincue : l’IA est la solution miracle pour stopper la crise climatique. Félix, lui, s’oppose à l’IA, estimant au contraire qu’elle ne fera qu’empirer les choses. Chargée de les départager, l’excentrique Professeure Eliza, experte de l’IA, les emmène alors sur les traces des enjeux écologiques de l’intelligence artificielle, depuis le fond des mines d’où sont extraits les métaux rares indispensables à cette technologie, jusqu’au sommet des gouvernements, pour lesquels l’IA constitue un enjeu essentiel. Une exploration pleine de surprises pour répondre à cette question clé : face à la crise climatique, l’IA est-elle une chance unique ou un problème de plus ?
La bd « Utop’IA – L’intelligence artificielle contre le climat ? » disponible ici
L’avis d’histoiregeobd.com sur la bande dessinée « Utop’IA – L’intelligence artificielle contre le climat ? »
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