Bande dessinée publiée en 2025 aux éditions Casterman.
Résumé éditeur
D’après l’essai Libres d’obéir – Le management, du nazisme à aujourd’hui de Johann Chapoutot publié le 9 janvier 2020.
Libres d’obéir ou comment le management moderne trouve certaines de ses racines dans l’organisation nazie. Les auteurs racontent comment Reinhard Höhn, ancien juriste du IIIᵉ Reich, a influencé la pensée managériale en prônant l’autonomie sous contrôle, de l’après-guerre jusqu’à nos jours. Dans cette adaptation, a été ajouté le récit de deux femmes cadres, soumises à la pression managériale, mettant en scène les conséquences concrètes de cette idéologie dans le monde professionnel actuel.
La bd « Libres d’obéir » disponible ici
L’avis d’histoiregeobd.com sur la bande dessinée « Libres d’obéir »
Bande dessinée publiée en 2025 aux éditions Philéas.
Résumé éditeur
D’après le roman Mothers’ Instinct de Barbara Abel publié le 12 avril 2012.
Voisins du même âge, Tiphaine, Sylvain, Lætitia et David partagent les mêmes passions et la même conception de la vie. Les deux couples sont devenus inséparables et, malgré la mince cloison qui les sépare, on peut dire qu’ils vivent joyeusement les uns avec les autres. Une amitié fusionnelle tout naturellement renforcée quand deux petits garçons viennent au monde pour enchanter les maisons. Maxime et Milo naissent la même année, grandissent ensemble, comme deux jumeaux qui le soir venu rentreraient dormir chez leurs parents respectifs. Mais ce tableau idyllique éclate violemment le jour où Lætitia est témoin d’un tragique accident qui coûtera la vie au petit Maxime, le garçon de ses voisins. Hantée par la culpabilité de n’avoir pas pu aider l’enfant et par la douleur d’avoir perdu un être qu’elle aimait comme un fils, Lætitia commence à s’inventer des histoires, aveuglée par la douleur. Tiphaine lui en veut, elle va se venger, elle projette de tuer Milo qui lui rappelle chaque jour l’enfant qu’elle a perdu. Lætitia a tellement peur de perdre son enfant, de vivre ce qu’à vécu Tiphaine… La paranoïa l’isole du reste du monde et elle ne comprend pas que c’est peut-être elle qui est en train de tuer son fils, à petit feu…
La bd « Derriere la Haine » disponible ici
L’avis d’histoiregeobd.com sur la bande dessinée « Derriere la Haine »
D’après le roman Drôle de Printemps de Youssouf Amine Elalamy publié le 21 mars 2015.
Dans un style plein d’humour et de dérision, Drôles de rêvolutions met en scène les soulèvements populaires qui ont bouleversé le monde arabe à travers des personnages loufoques, un brin schizos, empêtrés dans leurs angoisses, leurs fantasmes et leurs frustrations.
De la manifestante enragée à l’impitoyable dictateur, en passant par le flic repenti, le vendeur de chawarma ou le jeune accro aux jeux vidéo reconverti au jihad, ce livre raconte, de manière singulière et originale, ce que l’on a communément qualifié de « Printemps arabe ».
Au fil de ces pages au rythme serré, où les gags s’enchaînent en cascade et les personnages défilent d’une case à l’autre tel un jeu de domino, se dessine une véritable frise de la vie quotidienne des femmes et des hommes qui vivent dans des sociétés dominées par la violence et la frustration, dans un climat d’asphyxie politique et morale, et qui rêvent de changement. Car, qu’elle soit politique, spirituelle, personnelle, intime ou sexuelle, à chacun sa rêvolution.
La bd « Drôles de rêvolutions » disponible ici
L’avis d’histoiregeobd.com sur la bande dessinée « Drôles de rêvolutions »
Adapté du roman Drôle de printemps de Youssouf Amine Elalamy, Drôles de rêvolutions constitue une approche singulière des soulèvements arabes des années 2010. Cette collaboration entre l’écrivain marocain et le dessinateur franco-marocain Yassine Hejjamy propose une radiographie humoristique et désabusée des révolutions qui ont bouleversé le monde arabe.
L’album excelle dans sa capacité à dépeindre la complexité humaine derrière les mouvements collectifs. À travers dix-huit personnages archétypaux – de la manifestante enragée au dictateur stalinien, en passant par le vendeur de chawarma et le gamer radicalisé – les auteurs explorent les motivations intimes qui poussent à la révolte. Cette approche révèle que les révolutions naissent autant de frustrations personnelles que d’idéaux politiques.
Yassine Hejjamy déploie un trait incisif qui soutient parfaitement le propos satirique de Youssouf Amine Elalamy,. Son style graphique, maîtrisé lors de sa formation à l’École Saint-Luc de Liège, traduit avec justesse l’effet domino révolutionnaire où chaque case influence la suivante. Cette construction visuelle en cascade reflète brillamment la contagion sociale des soulèvements.
Drôles de rêvolutions s’impose comme une BD mature qui interroge la nature profonde des révolutions contemporaines. Bande dessinée intéressante et distrayante.
Adapté du roman de Simon Johannin publié pour la première fois le 5 janvier 2017.
Ici, c’est le « village de nulle part ». Là où l’on vit retiré et un peu hors la loi. Là où les enfants slaloment entre les pères ivres et les chiens errants, où l’été on apprend à dépecer les agneaux… Où trop souvent la misère vous mord les lèvres et la puanteur vous empoigne la gorge. Là où l’amitié reste la grande affaire. Un jour pourtant, il faut partir, affronter le monde pour tenter d’échapper à cette enfance pleine de terre et de sang qui vous colle à la peau.
La bd « L’été des charognes » disponible ici
L’avis d’histoiregeobd.com sur la bande dessinée « L’été des charognes »
L’été des charognes, premier roman graphique de Sylvain Bordesoules, adapte avec une intensité rare le texte coup-de-poing de Simon Johannin, chroniqueur d’une France rurale âpre et oubliée. Plongeant le lecteur dans un hameau perdu de l’Hérault, l’album donne voix à une jeunesse livrée à elle-même, ballottée entre violence ordinaire, amitiés rugueuses et un quotidien saturé d’ennui, de misère et de rêves d’ailleurs.
La narration, à la première personne, épouse le regard d’un adolescent dont l’innocence se heurte à la brutalité du monde adulte. Sylvain Bordesoules parvient à restituer la profondeur psychologique des personnages, fracassés mais debout, toujours sur le fil entre résignation et désir d’émancipation. La chronique sociale se double d’une quête identitaire, où chaque désillusion façonne une humanité cabossée, jamais caricaturale.
Graphiquement, l’album impressionne par un réalisme pictural saisissant, réalisé aux marqueurs à alcool et à l’aquarelle. Les plans serrés, les couleurs directes et les textures presque organiques traduisent la suffocation, la rudesse et la poésie paradoxale de cette campagne. Les visages, les mains, les objets du quotidien deviennent des vecteurs d’émotion brute, tandis que les paysages oscillent entre documentaire et abstraction, renforçant la tension du récit.
L’été des charognes s’impose ainsi comme une œuvre forte, bouleversante et nécessaire, à recommander à tous ceux qui s’intéressent à la bande dessinée sociale, à la littérature du réel et aux portraits sans fard de la jeunesse périphérique. Une révélation graphique et narrative, à la hauteur de son modèle littéraire.
Adapté du roman de Lian Hearn publié pour la première fois le 2 septembre 2004.
L’hiver est tombé sur les Trois Pays -le temps des frimas et des choix décisifs. Kaede, en proie à des drames intimes, lutte pour s’imposer comme seigneuresse incontestée, tandis que Takeo maudit sa vie d’espion et de tueur au sein de la Tribu. Chantage, amour, détresse, violence extrême… Le courage demeure leur seul recours.
La bd « Le Clan des Otori – Les Neiges de l’exil – 5 » disponible ici
L’avis d’histoiregeobd.com sur la bande dessinée « Le Clan des Otori – Les Neiges de l’exil – 5 »
Adaptant avec brio la saga de Lian Hearn, Benjamin Bachelier et Stéphane Melchior livrent avec ce cinquième tome une bande dessinée d’une rare intensité, plongeant le lecteur dans un Japon féodal fictif, inspiré de l’époque Sengoku, où guerres de clans, intrigues politiques et destinées contrariées s’entrelacent.
Les Neiges de l’exil s’ouvre sur un hiver glacial dans les Trois Pays, métaphore d’un temps suspendu où chaque personnage doit affronter ses propres démons. Kaede, figure féminine puissante et complexe, lutte pour s’imposer face à un monde dominé par les hommes, tandis que Takeo, héritier déchiré, s’enfonce dans la solitude et la violence imposée par la Tribu. Le scénario alterne habilement entre leurs trajectoires, révélant la profondeur psychologique de leurs dilemmes : honneur, amour, pouvoir et sacrifice s’entremêlent, portés par une écriture subtile qui évite le manichéisme.
Graphiquement, Benjamin Bachelier excelle à traduire l’atmosphère feutrée et onirique du récit. Son trait délicat capte la tension des corps et la gravité des regards, tandis que la palette de couleurs, tantôt sourde, tantôt éclatante, souligne l’intensité des émotions. L’anthropomorphisme discret des personnages ajoute une dimension symbolique et poétique, renforçant l’étrangeté fascinante de ce Japon rêvé.
Ce cinquième tome s’impose comme une adaptation fidèle et inspirée, à recommander aux amateurs de fresques historiques, de récits initiatiques.
Adapté du roman de Lian Hearn publié pour la première fois le 2 septembre 2004.
L’assassinat du sanguinaire chef des Tohan, sire Iida, a renversé l’échiquier politique des Trois Pays. L’heure est aux alliances, mais Takeo et Kaede, tous deux héritiers légitimes de leurs clans, poursuivent d’autres desseins. Fuites, secrets, traques, magie, séduction… Leurs ennemis sont partout. Dissimulés, prêts à frapper.
La bd « Le Clan des Otori – Les Neiges de l’exil – 4 » disponible ici
L’avis d’histoiregeobd.com sur la bande dessinée « Le Clan des Otori – Les Neiges de l’exil – 4 »
Adapté de l’œuvre de Lian Hearn, « Le Clan des Otori – Les Neiges de l’exil » marque l’ouverture d’un second cycle dans la saga graphique orchestrée par Stéphane Melchior (scénario) et Benjamin Bachelier (dessin et couleurs). Plongée dans un Japon médiéval fictif, l’album prolonge une fresque où se mêlent héritage, alliances et quête d’identité, sur fond de luttes de pouvoir et de traditions rigides, fidèlement inspirées du Japon féodal du XVIe siècle.
Ce quatrième tome se distingue par la complexité psychologique de ses protagonistes, notamment Kaede, dont le parcours vers l’émancipation féminine prend une dimension nouvelle. Les thèmes de l’exil, de la loyauté et du pouvoir sont abordés avec subtilité, même si ce volume se révèle plus introspectif et transitoire, privilégiant la tension latente aux affrontements frontaux. Les relations familiales, en particulier entre Kaede et son père, apportent une profondeur émotionnelle notable, tandis que les jeux politiques s’effacent momentanément au profit d’une exploration plus intime des personnages.
Benjamin Bachelier propose un style graphique épuré et évocateur, où l’influence de l’estampe japonaise se fait sentir à travers l’utilisation maîtrisée des couleurs et des ombres. La mise en scène demeure élégante et sert efficacement l’atmosphère du récit. Les planches, parfois dépouillées, accentuent le sentiment d’isolement et de froid propre à l’exil.
« Le Clan des Otori – Les Neiges de l’exil » s’impose comme une transition sensible et maîtrisée, fidèle à l’esprit du roman original. Cette adaptation séduira les amateurs de récits initiatiques, de drames historiques et d’univers graphiques raffinés. Un passage obligé pour tout lecteur conquis par le premier cycle, et une invitation à poursuivre l’aventure avec patience et curiosité.
Adapté du roman de Lian Hearn publié pour la première fois en novembre 2002.
Alors que Takeo s’apprêtait à tuer sire Iida, chef du clan Tohan, il est fait prisonnier par la Tribu. Son père adoptif, Sire Otori, est désormais condamné, seul aux mains d’ennemis trop puissants.
Quant à Kaede, sentant la mort roder autour d’elle et de ceux qui lui sont proches, elle sombre peu à peu dans la mélancolie… Takeo devra-t-il renoncer à son nom ? Les deux amoureux parviendront-ils à joindre leur destin par delà les coups du sort ?
La bd « Le Clan des Otori – Le Silence du Rossignol – 3 » disponible ici
L’avis d’histoiregeobd.com sur la bande dessinée « Le Clan des Otori – Le Silence du Rossignol – 3 »
Adaptée de la célèbre saga de Lian Hearn, la bande dessinée « Le Clan des Otori – Le Silence du Rossignol – Tome 3 » poursuit son immersion dans un Japon médiéval imaginaire, où l’honneur, la vengeance et la quête d’identité se télescopent au fil des pages. Stéphane Melchior, fidèle à la tension dramatique du roman, orchestre une narration dense, où la psychologie des personnages se révèle dans la tourmente : Takeo, jeune héritier malgré lui, lutte entre loyauté, héritage et pouvoirs surnaturels, tandis que Kaede, figure féminine marquante, affronte la fatalité et la mélancolie dans un monde dominé par la violence des clans.
Graphiquement, Benjamin Bachelier impose un style puissant : ses traits énergiques, parfois rugueux, insufflent une tension constante, tandis que la palette de couleurs, subtilement travaillée, évoque à la fois la poésie et la rudesse du Japon médiéval. Les costumes détaillés, la mise en scène des combats et l’utilisation de l’espace soulignent la dimension épique et tragique du récit.
Ce troisième tome confirme la réussite d’une adaptation ambitieuse, à recommander aux amateurs de récits historiques, de fantasy et de drames psychologiques, comme à ceux qui souhaitent découvrir une fresque japonaise aussi envoûtante que cruelle.
Adapté du roman de Rainbow Rowellpublié pour la première fois le 21 février 2014.
Alors que Cath commençait tout juste à prendre en main sa nouvelle vie, ses certitudes s’effondrent. Il y a d’abord Nick, qui se comporte de plus en plus bizarrement. Puis, il y a Lévi qui a embrassé une autre fille. Et enfin, il y a sa soeur jumelle qui décide subitement d’accorder du temps à leur mère, malgré son abandon dix ans plus tôt. Devrait-elle tout quitter et tout recommencer ?
La bd « Fangirl – Tome 3 » disponible ici
L’avis d’histoiregeobd.com sur la bande dessinée « Fangirl – Tome 3 »
Adapté du roman de Lian Hearn publié pour la première fois en novembre 2002.
Takeo, sauvé du massacre des siens par Otori Shigeru, est maintenant au coeur des luttes entre les seigneurs de la guerre. Kaede, otage des Tohan, est promise à sire Otori pour sceller une réconciliation politique. Pièges, trahisons, combats sanglants… Takeo et Kaede doivent parer les coups mortels pour accomplir leur destin.
La bd « Le Clan des Otori – Le Silence du Rossignol – 2 » disponible ici
L’avis d’histoiregeobd.com sur la bande dessinée « Le Clan des Otori – Le Silence du Rossignol – 2 »
Le Clan des Otori – Le Silence du Rossignol, tome 2, signé par Stéphane Melchior (scénario) et Benjamin Bachelier (scénario & dessin), poursuit l’ambitieuse adaptation en bande dessinée de la saga de Lian Hearn, plongeant le lecteur dans un Japon médiéval fictif, théâtre de luttes de pouvoir et de destins contrariés.
Le scénario, centrée sur Takeo, jeune héritier malgré lui, et Kaede, otage promise à un mariage politique, s’articule autour de thèmes universels : l’honneur, la loyauté, la quête d’identité et la force des sentiments face à la violence du monde. La psychologie des personnages se distingue par sa finesse : Takeo, partagé entre vengeance, fidélité et découverte de ses dons surnaturels, incarne la complexité des choix moraux, tandis que Kaede, marquée par la suspicion et la solitude, révèle une résilience bouleversante.
Graphiquement, Benjamin Bachelier impose un style nerveux et expressif, fait de traits vifs et de couleurs subtiles, qui restitue à merveille l’atmosphère à la fois poétique et brutale du récit. Les décors, costumes et scènes de combat témoignent d’un soin particulier, immergeant le lecteur dans une Asie médiévale à la fois réaliste et empreinte de mystère. Le dessin, loin de lisser la violence, la transcende en une chorégraphie visuelle, soutenant l’émotion sans jamais l’alourdir.
Le Silence du Rossignol, tome 2, séduit par la richesse de son univers, la profondeur de ses protagonistes et la puissance de sa mise en images. Cette adaptation confirme le talent du duo Melchior/Bachelier pour faire vibrer l’épopée en BD.
Adapté du roman de Lian Hearn publié pour la première fois en novembre 2002.
Guerre, amour, spiritualité et art incontesté du récit: une fresque puissante au cœur d’un Japon médiéval fantastique sublime.
Le Silence du Rossignolvous entraîne dans une quête épique, au cœur d’un Japon féodal où se côtoient poésie délicate et terrible violence. Vengeance, traîtrise, honneur et loyauté, beauté, amour fou… Derrière les visages impassibles et les codes immuables se cachent des cœurs passionnés et des sentiments farouches.
La bd « Le Clan des Otori – Le Silence du Rossignol – 1 » disponible ici
L’avis d’histoiregeobd.com sur la bande dessinée « Le Clan des Otori – Le Silence du Rossignol – 1 »
Adaptée du célèbre roman de Lian Hearn, cette bande dessinée nous plonge dans un Japon féodal imaginaire, à la fois poétique et brutal, où l’honneur, la vengeance et la loyauté se disputent chaque page. Stéphane Melchior orchestre une narration fluide et tendue, centrée sur le jeune Takeo, rescapé d’un massacre, recueilli par le seigneur Shigeru Otori. À travers son apprentissage et la découverte de ses dons surnaturels, l’œuvre explore la quête d’identité, la force des liens familiaux choisis, et la difficulté de survivre dans un monde dominé par la violence et les intrigues de pouvoir.
Graphiquement, Benjamin Bachelier signe un travail remarquable : son trait expressif, parfois rugueux, évoque l’estampe japonaise et sert parfaitement l’atmosphère du récit. Les couleurs, tantôt sobres, tantôt éclatantes, traduisent la tension entre la beauté du monde et sa cruauté. Chaque planche, soignée et documentée, accentue le contraste entre l’apparente sérénité des paysages et la violence sous-jacente des affrontements.
« Le Silence du Rossignol » est une adaptation fidèle et inspirée, qui séduira les amateurs de récits initiatiques, d’épopées historiques et de cultures asiatiques. Elle s’adresse autant aux lecteurs connaissant déjà la saga qu’à ceux qui souhaitent découvrir un univers dense, sensible et magnifiquement mis en images.
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